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Mémoires d'un homme de foi
Je me fais vieux, trop vieux Je ressens aussi le besoin de faire rédiger mes mémoires, par mes meilleurs scribes, pour que celles-ci glorifient le blason familial à tout jamais. Mon histoire commença il y a de cela plusieurs années, lorsque je quittai ma terre natale : le Danemark. Je suis arrivé en Bretagne à l'âge de 15 ans à la recherche d'aventures, mais avant tout à la recherche d'une famille. Ma mère m'avais envoyé rejoindre les rangs de la prestigieuse famille Helmsley pour y gagner quelques deniers. Or, dès mon arrivé en royaume du Logres, je fis la rencontre d'un homme de foi qui me prit sous son aile. Ce sage homme, nommé Père Alexis, m'enseigna les Saintes-Écritures et le culte de Dieu. Il m'intégra dans la grande famille du Seigneur c'est ainsi que j'en arrivai à devenir prêtre. Une fois mon assermentation, j'eus tôt fait de monter les échelons de la hiérarchie ecclésiastique. Par mes nombreuses conversions et mes spectaculaires prodiges, ma réputation fleurie comme la rose au printemps. Dût à l'influence politique et populaire que je suscitai au sein du peuple de Bretagne et de Cornouailles, les haut membres ecclésiastiques n'eux d'autres choix que de me nommer évêque de Bath. Une fois en poste, je m'aperçu de la corruption qui régnait sur la Bretagne. Elle était omniprésente et aucune sphère de la société de la société n'y échappaient. Monseigneur Guillaume et moi-même, fûmes même obligé de destituer l'Archevêque en place, De Guise, puisse que celui-ci n'arrivait point à contenir le fléaux du polythéisme. Dès l'or, je compris que l'obtention de la justice et la paix en Grande-Bretagne nécessiterait une épuration ethnique et religieuse. J'en fit donc mon fer de lance : Un royaume, une race, une religion! Je combattu pendant de nombreuses années au côté de Monseigneur Guillaume de Canterbury, de Sir Gauvain d'Orcanie et de Sir William McEdwart pour la cause de l'Église. La cause chrétienne se voyait attaqué sur tout les fronts. Fort heureusement, de nombreux pèlerins chrétiens nous vîmes en aide dans notre cause. Avec l'arrivée de Jean le fléaux des Turcs, la balance pencha à notre avantage. La suprématie chrétienne s'imposa partout en Bretagne. En riposte à ceci, Morgane la fée complota au côté de la sur jumelle de la reine Genièvre. Elles mirent sur pied un plan machiavélique qui avait pour but de dresser toutes les religions païennes contre la nôtre. Malgré cela, l'Église n'en fut pas moins affaiblit. Grâce au support du Seigneur le Père tout puissant, j'eûmes eux la gloire de me battre au côté de l'Archange Saint-Michel contre les païens et leurs divinités. Encore une fois, notre victoire fut totale même si cette bataille eux coûté la vie à plusieurs preux chevaliers dont le brave Paléomides de Saragosse et le pieux sire Draknar. Désormais, malgré mon âge avancé, Dieu m'épaule dans cette quête que j'ai faite mienne. Avec les années, j'ai compris que la Bretagne avait droit à sa mythologie. J'ai donc concédé de faire une trêve entre chrétien et wotanique, par le biais de la médiation du noble Sir Accolon de Gaule, pour me concentrer sur une cause plus importante. Grâce au soutient du peuple, du clergé, de ma maisnie, du roi et du Milites Dei, mon ordre de chevalerie regroupant toute l'élite chrétienne, je peux prétendre à mes ambitions. Sous peu, j'aurai décimé les De Gorres et la nation Albionnaise, cause de tous les maux de Bretagne Et il n'y aura plus personnes qui pourront s'opposer à la suprématie ecclésiastique. Monseigneur Malek de Bath, Pieux défenseur de l'Église romaine
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